Le principe du «drive» est simple. Le client effectue ses achats sur internet, dans une boutique virtuelle souvent similaire au magasin physique, avec les mêmes produits. Il les récupère ensuite directement dans un dépôt affecté à cet effet. Si certaines de ces surfaces de stockage sont collées à une grande surface et prélèvent les articles au sein du même stock. D’autres sont complètement indépendantes et ne sont, ni plus ni moins, qu’un espace de transit.
Pour créer un drive, l’entrepreneur n’a aucunement besoin de présenter un dossier à la Commission départementale d’aménagement commercial. «Il lui suffit de déposer un permis de construire ou d’aménager un local», précise la député PS Fanny Dombre.
Ainsi, un projet de loi concernant la réglementation de l’ouverture des «drives» devrait être présenté par la Ministre du commerce Sylvia Pinel, au Conseil des ministres en juin prochain.
Articles dans la même catégorie
La CFDT, la CFE-CGC et la CFTC viennent de signer des accords concernant le travail dominical, dans le secteur du bricolage. Afin que celui-ci ne soit ni banalisé, ni généralisé, dix contreparties protégeant les salariés ont été négociées.
La garantie légale des vices cachés protège les clients des défauts invisibles lors de l'achat, et ce jusqu'à 2 ans après la vente. Si l'existence du vice est prouvée, cela peut donner lieu à une diminution du prix d'achat ou à l'annulation de la vente.
En partenariat avec 80 entreprises, les élus du Conseil de Paris signeront une charte visant à améliorer le transport de marchandises à Paris et à diminuer les nuisances environnementales et auditives pour les riverains.
Si vendre un produit dont la date limite de consommation (DLC) a expiré est interdit et répréhensible par la loi, la date limite d’utilisation optimale (DLUO) est une indication. Aussi, ces articles peuvent être revendus ou donnés via divers circuits.