Dans le monde du commerce organisé, le partenariat cumule les avantages et les inconvénients de son statut particulier : une grande flexibilité des termes et des conditions. Son contenu nécessite donc d'être examiné dans les moindres détails.
Les termes d'un contrat de commission-affiliation ressemblent beaucoup à ceux d'une franchise, avec toutefois une différence de taille : le stock appartient à l'enseigne, d'où une importante dépendance de l'affilié vis-à-vis de la tête de réseau.
Lorsque l'on parle de concession, on pense immédiatement aux concessionaires automobiles. Mais ce principe s'applique à d'autres domaines, comme l'équipement de la maison ou la distribution d'articles de bureautique et de papeterie.
Le commerce associé rassemble des partenaires indépendants qui, en créant un réseau d'adhérents, mutualisent les achats (avec la création d'une centrale d'achat) et les dépenses de fonctionnement afin d'en réduire la charge financière.
Si la franchise est l'un des nombreux modes de développement du commerce organisé, elle est aussi le plus répandu d'entre eux, avec ses avantages et ses inconvénients. Il convient donc de tenir compte de plusieurs éléments avant de faire son choix.
Partenaire, franchisé, affilié, concessionnaire, adhérent,… les termes sont nombreux pour désigner les commerçants indépendants membres d'un réseau. Tous ont cependant un point important en commun : ils appartiennent au commerce indépendant organisé.
D'où vient la franchise ? Comment s'est-elle construite ? Il n'est pas rare de mettre dans le panier "franchise" toutes les formes de commerce organisé. Or il y a bien une différence entre les deux, et c'est la première qui a donné naissance au second.
C'est à Toulouse qu'est née Centrakor, il était donc symbolique que l'enseigne y ouvre son 300ème magasin. Spécialisée dans l'équipement de la maison, la décoration et les cadeaux à prix discount, Centrakor continue de se développer à un rythme soutenu.
Lorsqu'un produit est dangereux ou susceptible de l'être pour la santé des consommateurs, certaines mesures sont à mettre en place comme son retrait ou son rappel. Mais doit-on alerter la DGCCRF ou s'en charger soi-même ?
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