Depuis fin 2013, La Poste a installé des imprimantes 3D en partenariat avec la start-up Sculpteo, dans ses bureaux de poste parisiens de La Boétie et Bonne nouvelle, ainsi que dans celui de l'Hôtel de ville à Boulogne-Billancourt et de Mériadeck à Bordeaux. Dans ces espaces 3D, les clients peuvent rencontrer des conseillers ayant reçu une formation spécialisée, afin de les accompagner dans leurs demandes.
Nouvelle gamme de services pour la société, celle-ci a développé plusieurs offres, selon les besoins de la clientèle. Il est ainsi possible de simplement personnaliser des objets (tasses, coques de téléphone...), d'imprimer des bijoux en 3D mais aussi des maquettes de projets ou des dessins d'architecte. Le service 3D Design est un accompagnement complet dans la réalisation d'un article, du 2D à la 3D. Des reproductions de figurines miniatures, personnalisables à partir d'un catalogue, sont également réalisables dans ces espaces.
Côté prix, il faut compter environ 25 € pour la personnalisation de coques, entre 60 et 80 € pour la modélisation d'un dessin et une centaine d'euros pour des bijoux en argent. Toutefois, il est à prendre en compte que les tarifs varient selon la durée d'impression et la nature du projet. Par ailleurs, il n'est pas nécessaire de se déplacer en agence pour concevoir un objet. Le projet peut être discuté et envoyé par mail à un conseiller, validé puis récupéré en agence, quelques jours plus tard.
Adresse mail à laquelle envoyer les projets : [email protected]
Articles dans la même catégorie
La fameuse cigarette électronique vendue partout en France, c'est l'enseigne Clopinette qui était la première à se lancer dans sa distribution sur l'ensemble du territoire.
Déjà disponible dans certains trains de la SNCF, le wifi s’est immiscé dans les avions des compagnies Air France et KLM. Passant non plus par voie terrestre mais par satellite, dès 20 000 pieds, les voyageurs peuvent retrouver toute la magie d’internet.
À partir de 2018, les calculatrices scientifiques programmables ne seront plus autorisées pour le passage d'examens. Toutefois, les constructeurs ont d'ores et déjà trouvé la parade à la loi en créant un système de blocage de la mémoire interne.
La DGCCRF a examiné de plus près le marché français des cigarettes électroniques. Selon son enquête, la quasi-totalité des e-liquides et des chargeurs seraient non-conformes à la réglementation, certains présentant même un danger pour l'utilisateur.