Une petite boutique ouverte à Herten, en Allemagne, à la toute fin du 19ème siècle, et qui depuis n’a pas cessé de se développer… C’est ainsi que naquit Herta, aujourd’hui la première marque de charcuterie-traiteur en libre-service vendue en France. Depuis ses débuts, Herta a su diversifier son offre pour proposer différents produits, du jambon et des knackis bien sûr, mais aussi des croque-monsieur, des saucissons ou des pâtes à gâteau prêtes à cuire.
Pour rester leader, il faut savoir s’adapter au marché et c’est précisément ce que fait Herta avec cette nouvelle gamme appelée Le Bon Végétal. Que cela soit par conviction, par goût ou par crainte de conséquences liées à la santé, nombreux sont les consommateurs qui s’orientent vers les préparations excluant tout ingrédient d’origine animale. L’effet de mode aidant, le marché des produits végétariens est florissant. Herta s’inscrit dans cette tendance avec Le Bon Végétal, soit 10 spécialités à base d’ingrédients propres à satisfaire la fibre végétarienne de chacun.
On peut entre autres choisir un Carré Gourmand tomates-mozzarella, un pavé épinard-fromage, des boulettes de légumes ou des galettes carottes-maïs-petits pois. Le soja et le blé entrent dans la composition de steaks, d’escalopes, d’émincés, de boulettes et même de nuggets. Le charcutier-traiteur espère ainsi plaire à tous les membres de la famille. Sur la page de son site présentant ces nouveautés, Herta propose d'ailleurs quelques recettes pour les agrémenter.
Photos : Herta / Le Bon Végétal
Articles dans la même catégorie
Après deux ans de travail pour construire son cahier des charges, l'association Initiative Bio Bretagne vient de lancer le premier label identifiant les produits bios issus de la région Bretagne, Be Reizh, qui signifie littéralement "être équitable".
C'est désormais officiel. Une enseigne Poulaillon va ouvrir ses portes à Epinal à la fin du mois de septembre.
Le food truck n’est rien d’autre que la continuité du camion de glacier ou de pizzas, qui déambulent dans les rues. Utilisés aussi à des fins commerciales, les marques de boissons ont elles aussi pris d’assaut le concept.
A 8 ans, Vivienne Harr est la créatrice des limonades Make A Stand, dont les bénéfices sont reversés à une ONG contre l’esclavage des enfants. Mais la success story a commencé avec un stand, de la compassion et 100 000 dollars collectés en quelques mois.