Si les cartes et les chèques-cadeaux permettent au bénéficiaire de choisir lui-même son cadeau, ils comportent quelques contraintes. En effet, bon nombre sont limités dans le temps et ne sont utilisables que dans une liste d'enseignes précises. Certains sont utilisables en plusieurs fois, d'autres non et il arrive que l'on se retrouve avec des cartes cadeaux, sans trop savoir quoi en faire. Aussi, le site Esioox propose depuis 2011, de les revendre et de les échanger, si celles-ci ont une durée de validité de plus de 2 mois et un montant minimum de 25 euros.
Pour cela, il suffit de renseigner les informations de la carte (numéro, date de validité, type, enseigne...), ainsi que le montant. Toutefois, une réduction peut être appliquée au prix de vente. Par exemple, il est possible de vendre une carte d'un montant de 100 euros à 95 euros. La carte est ensuite à envoyer par courrier suivi et le paiement est effectué, en 24h après réception de la lettre, par virement, chèque ou PayPal.
Par ailleurs, la revente d'un chèque ou d'une carte cadeau ne se fait pas obligatoirement contre de l'argent. L'utilisateur a la possibilité de choisir d'acheter une autre carte soldée sur la plateforme. Ainsi, Exioos récupère les cartes vendues par les particuliers et les remet en vente, avec la réduction choisie par le revendeur. De ce fait, les chèques disponibles sur la place de marché du site sont commercialisés avec une réduction supplémentaire (par exemple : une carte de 30 euros vendue 25 euros).
* Photo extraite du site Exioos : http://www.esioox.fr/
Articles dans la même catégorie
Le gouvernement réfléchirait à la création d’un réseau national regroupant 5000 bornes de recharge destinées aux véhicules électriques. Cela permettrait peut-être de relancer ce nouveau marché, mais reste à savoir qui en sera l’opérateur principal.
Face à la concurrence des vols low-cost, du covoiturage et de l'autopartage, la SNCF engage une nouvelle stratégie commerciale. Après l'achat du site 123envoiture.com, la société a affirmé vouloir doubler le nombre de billets à prix réduits.
Pas de tickets ni de jetons, encore moins d’argent liquide. Cet été dans les festivals de musique, c’est le cashless qui a le vent en poupe, et les organisateurs comme les festivaliers semblent satisfaits par cette solution de paiement dématérialisé.
Depuis 2011, les italiens délaissent peu à peu la voiture et investissent dans les bicyclettes. D’ailleurs, le volume des ventes de vélos a largement dépassé celui du secteur automobile. Un système comparable au Velib’ est même en test à Milan.