Le 1er janvier, lendemain des festivités qui marquent l’année passée, est un jour férié durant lequel la plupart des Français ne travaillent pas. Si la grande majorité des gens en profitent pour se reposer, se remettre de leurs émotions de la veille ou commencer une nouvelle année sur de bonnes bases, certains consommateurs sont bien déterminés à aller faire leurs courses ce jour-là.
La saison des soldes est enfin là, et avec elle, l’opportunité pour les passionnés de shopping de profiter d’offres exceptionnelles. Une période idéale pour mettre à jour sa garde-robe, renouveler ses appareils électroniques ou encore décorer sa maison sans vider son portefeuille. Afin de profiter pleinement de cette période de promotions avantageuses, quoi de mieux que d’y être bien préparé ?
Depuis plus d’un siècle, le mois du blanc débute dès le 1er janvier en France, aux quatre coins du pays. Cette tradition propre à l’Hexagone intrigue et pose de nombreuses questions à celles et ceux qui ne la connaissent pas. Pour les habitué.es, en revanche, le mois du blanc est très attendu, puisqu’il est synonyme de regain de pouvoir d’achat et de promotions très attractives.
À l'approche des fêtes de fin d’année, nous sommes nombreux à vouloir exprimer notre reconnaissance envers nos proches par le biais de cadeaux et de réjouissances. La période de Noël est également le moment idéal pour témoigner son soutien aux commerçants locaux, qui animent nos quartiers et nos villes tout au long de l’année.
Les contraintes professionnelles ou personnelles obligent parfois à préparer le dîner du 24 décembre ou du 31 décembre au dernier moment. Cette période de fête est synonyme de partage en famille ou entre amis. Voici quelques astuces pour mettre les petits plats dans les grands, même avec un timing très serré !
À l'approche de la saison des fêtes, la magie de Noël s’exprime de bien des façons. Entre deux escapades sur les marchés de Noël des environs, il est temps de réfléchir à des cadeaux parfaits pour faire plaisir à ses proches. Et cette année, au lieu de se laisser emporter par la frénésie des achats impulsifs, pourquoi ne pas opter pour des présents aux valeurs éthiques et durables ?
Si l’été nous gâte chaque année avec ses tomates juteuses, ses crudités croquantes et ses boissons rafraîchissantes, l’automne n’est pas en reste lorsqu’il s’agit de satisfaire les amoureux des bons produits. Alors que les températures se rafraîchissent et que les arbres se dotent de jolies couleurs, nos assiettes, quant à elles, se transforment en véritables festins de saison.
L’inflation post-Covid a marqué durablement nos modes de consommation, poussant les Français à partir en quêtes de bonnes affaires. Leur pouvoir d’achat en berne, ils sont preneurs de toutes les occasions de pouvoir faire plaisir à leurs proches et se faire plaisir à eux-mêmes.
L’été n’est qu’un lointain souvenir… voilà l’automne qui apporte son lot de journées fraîches, de chutes de feuilles et d’averses en pagaille. Force est de constater que vos chemisettes et robes d’été vont retourner au placard jusqu’à l’année prochaine. Place aux pulls, blazers en cuir, trenchs, écharpes toute douces, bottes montantes et jupes en velours, emblématiques de cette nouvelle saison.
La crise sanitaire survenue en 2020 a marqué les esprits, mais elle a surtout entraîné une crise économique sans précédent. Plusieurs années après le début de la pandémie de Covid-19, force est de constater que les habitudes de consommation des Français ont été chamboulées. Les comportements d’achat évoluent et avec eux, les attentes des clients.
Citrouilles, sorcières, toiles d’araignée ou encore têtes de mort : à l’approche d’Halloween, certaines maisons se parent de décorations. Arrivée des pays anglosaxons, cette fête où les enfants récoltent des bonbons est l’occasion de faire preuve d’ingéniosité pour habiller sa maison de manière festive.
Le mois de septembre marque la rentrée, une occasion rêvée pour faire le point en matière de consommation et de dresser un bilan peu glorieux du pouvoir d’achat des Français. Et pour cause, outre l’inflation qui met à mal les ménages les plus modestes, de nouvelles pratiques commerciales douteuses ont le vent en poupe ces derniers mois.
Au mois de mars 2020, la pandémie de Covid-19 touche la France de plein fouet. Débute alors un premier confinement de 55 jours, obligeant tout un chacun à rester chez soi. Durant cette période ponctuée de moments de doute, de crainte et d’espoir, les Français n’ont plus la possibilité de se rendre dans les commerces considérés comme « non-essentiels », obligés de fermer leurs portes.
La rentrée marque le début d’une nouvelle année scolaire et la fin de l’été. Une période ressentie par de nombreux Français comme celle des dépenses qui s’enchaînent : fournitures d’école, livres scolaires, vêtements, matériel de toute sorte, activités parascolaires… Comment éviter que cette phase ne soit synonyme de serrage de ceinture ?
Pour les écoliers, collégiens, lycéens et étudiants, les vacances d’été sonnent l’heure de la détente et des activités récréatives en tous genres. Pour les parents d’élèves en revanche, c’est une tout autre affaire qui s’annonce. Celle de préparer la rentrée scolaire à venir !
Fin des tickets de caisse imprimés : bonne ou mauvaise idée ? Que vous fassiez vos courses en grande distribution, hypermarché, épicerie, boulangerie ou même dans un tout autre commerce, la question ne vous sera plus régulièrement posée.
Les vacances sont un moment très attendu par tout un chacun. Et pour cause, c’est l’occasion de déconnecter ainsi que de laisser le travail et les préoccupations quotidiennes de côté. Si certains apprécient des vacances sportives à la montagne ou à la mer, d’autres préféreront se reposer et dédier cette pause estivale au farniente.
Les soldes d’été viennent de se terminer, il est temps de dresser un bilan de cette opération qui, jadis, était très attendue par les Français. Après une pandémie et plusieurs crises économiques, les consommateurs ont-ils changé leur manière d’acheter ? Les soldes sont-elles toujours aussi chères au cœur des acheteurs ou connaissent-elles un véritable désamour ?
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